Ambition réduite pour l’aéroport de Nevis

Au départ, nous prévoyions de faire un aéroport international à cet endroit. Lorsque nous avons examiné le coût, car il s’élevait à quelque 90 millions de dollars caribéens¹ et que nous avons considéré que juste à côté, à Saint-Kitts, à Antigua et à Sint Marteen, il y avait des aéroports internationaux ; nous avons estimé qu’il s’agissait probablement d’un investissement peu judicieux parce que nous ne voyions pas, par exemple, un avion d’American Airlines décoller de Miami pour se rendre à l’aéroprt Robert L. Bradshaw à St. Kitts et un autre à l’aéroport de Vance Amory à Nevis. Et donc ce que nous avons décidé, c’est de revoir à la baisse le projet tout créant une installation pour recevoir des jets privés. L’idée est donc d’y faire des travaux de rénovation et d’expansion pour répondre au marché des jets privés, ce qui nous permettra de continuer à recevoir du trafic régional, mais aussi de permettre, par exemple, lorsque des hôtels comme Four Seasons ont un charter… qu’ils puissent atterrir ici même à l’aéroport international Vance Amory. Mark Brantley, ministre de l’aviation civile de St. Kitts-et-Nevis